• Josef Haydn (1732-1809), Quatuor en sol majeur opus 76 no 1, 2eme mouvement

     

    Josef Haydn, Trio pour piano, violon et violoncelle n°39, 3eme mouvement

     

    Josef Haydn, Sonate pour piano n°60 en ut majeur

     

    Wolfgang Amadeus Mozart, Concerto pour piano n°20 en ré mineur K 466, 1785

     

    Wolfgang Amadeus Mozart, Les Noces de Figaro, 1786, Ouverture

    " La pièce de Beaumarchais dont s’inspire Mozart, La Folle journée ou Le Mariage de Figaro, a été donnée à Paris le 27 avril 1784, après trois années de combats et de controverses pour sa représentation. L’auteur est jeté en prison, alors que sa pièce triomphe ! Dès l’édition de la pièce, l’année suivante - 1785 -, pas moins de douze traductions allemandes paraissent, preuve d’un succès européen foudroyant. Wolfgang lui-même en possède un exemplaire dans sa bibliothèque, et il demande à son ami Lorenzo da Ponte d’adapter le texte de la pièce de théâtre à une mise en musique. Mais l’empereur Joseph II, frère de la reine Marie-Antoinette, a interdit la représentation de cette pièce, qui a causé tant de troubles en France : qu’importe, Mozart et son ami da Ponte se mettent fébrilement au travail, tant leur enthousiasme est grand. L’écriture du texte et de la musique a lieu en secret durant les mois de l’été 1785, à Vienne, alors que le calme de la capitale est propice à la réflexion pour les deux artistes. Le compositeur et le librettiste, tels de vrais conspirateurs, ont même prévu, en cas de refus réitéré de l’empereur, de faire représenter – grâce à des amis complices – l’opéra interdit à Paris ou à Londres. L’œuvre est presque achevée au début de l’automne : les paroles sont rédigées, alors que Mozart remanie encore sa partition."

    lire plus sur: http://digital.philharmoniedeparis.fr/0757672-les-noces-de-figaro-de-mozart-genese-de-l-oeuvre.aspx

     

    Wolfgang Amadeus Mozart, La flûte enchantée, 1791, air de la Reine de la nuit

     

    Ludwig van Beethoven, Sonate pour piano n°14, en do dièse mineur, dite "clair de lune"

     

    Ludwig van Beethoven, Symphonie n°3, en mi bémol majeur, 1804, mouvements n°3 et 4

    "Beethoven est sensible aux valeurs républicaines de la Révolution française que le général Bonaparte, parti à l'assaut des royaumes européens, veut propager. Les titres et dédicataires successifs de la Symphonie n° 3  témoignent de cette réception. Initialement intitulée « Bonaparte », la symphonie sera rebaptisée « Héroïque ». De même, le dédicataire originel de l’œuvre, Bonaparte en personne, cédera finalement la place au mécène du compositeur, le prince Lobkovitz. S'il était sage de la part de Beethoven de dédier la symphonie à son mécène, on peut également attribuer ces divers changements à la déception éprouvée par le compositeur d'apprendre que Bonaparte, le chantre de la liberté, était devenu un tyran en se sacrant lui-même empereur sous le titre de Napoléon Ier.

    On peut interpréter cette symphonie comme l'histoire d'une vie de héros. Le premier mouvement célèbre son énergie, quand le deuxième évoque sa mort. L'optimisme de Beethoven surmonte ce moment tragique dans les deux derniers mouvements. Cette fin heureuse, pleine d'espoir, souligne l'appartenance du compositeur au Siècle des lumières. L'assombrissement intermédiaire annonce déjà quant à lui les tourments futurs du romantisme." 

    lire plus sur:http://digital.philharmoniedeparis.fr/0729171-symphonie-n-3-eroica-de-ludwig-van-beethoven.aspx

     

     

     


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  • Jean-Baptiste Lully (1632-1687), Le bourgeois gentilhomme, 1670,

    "Marche pour la cérémonie des Turcs"

     

    Jean-Philippe Rameau (1683-1684), Les Indes galantes, 1735

    Première entrée: Le Turc généreux

     

    Jean-Philippe Rameau, Troisième livre de pièces de clavecin, 1728

    Suite en sol: "Les Sauvages"

     

    Antonio Vivaldi (1678-1741), Les Quatre Saisons, "L'été"

    (Concerto no 2 en sol mineur, op. 8, RV 315

     

    Jean-Sébastien Bach (1685-1750), Le clavier bien tempéré, prélude BVW 846

     

    Jean-Sébastien Bach, Suite pour violoncelle n°1, prélude

     

    Jean-Sébastien Bach, Concerto brandebourgeois n°3 BWV 1048

     

    Jean-Sébastien Bach, suite pour luth n°2, arrangement pour clavecin, gigue double

      

    Padre Antonio Soler (1729-1783) - Fandango

     

     


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