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Par proflemerle le 30 Janvier 2018 à 09:09
FUSSLI, LE CAUCHEMAR, 1791
TURNER, BUTTERMERE LAKE, VERS 1797
FRIEDRICH, VOYAGEUR AU DESSUS DE LA MER DE NUAGES, 1818
GERICAULT, LE RADEAU DE LA MEDUSE, 1819
FRIEDRICH, LE REVEUR, VERS 1835
CONSTABLE, HADLEIGH CASTLE, VERS 1828
DELACROIX, LA LIBERTE GUIDANT LE PEUPLE, 1830
FROMENTIN, CHASSE AU HERON EN ALGERIE, 1865
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Par proflemerle le 12 Juin 2017 à 09:37
L'orage (ou sa variante la tempête) est un thème privilégié pour offrir à l'orchestre l'occasion de faire la démonstration de ses possibilités. Qu'il s'agisse d'une simple suggestion, ou d'une description plus scrupuleuse, la musique cherche alors l'effet spectaculaire, parfois en mobilisant une machinerie un peu pesante, comme dans la partition de Richard Strauss.
Claude Joseph Vernet, Le Naufrage, 1772, National Gallery of Art, Washington
Vivaldi, L'été, concerto pour violon, troisième mouvement "presto", 1725
Rameau, Platée, scène d'orage, 1745
Telemann, Ode au tonnerre, "Er donnert" (duo pour basses)
Haydn, Les Saisons, Oratorio, choeur : "Ach, das Ungewitter naht ! "
Beethoven, Symphonie n°6 "Pastorale", Quatrième mouvement, "Gewitter und Sturm"
Rossini, Le Barbier de Séville, Tempête, 1816
Rossini, Guillaume Tell, Ouverture, 1829
Tchaikovsky, L'orage, ouverture de concert, composée en 1864
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Par proflemerle le 8 Février 2017 à 18:22
Friedrich est considéré comme le maître de la peinture romantique allemande. Né en 1774 et mort en 1840, il peignit surtout des paysages (ceux des bords de mer Baltique, ou des Monts Métallifères, près de Dresde). Sombres et tourmentées, ou claires et spirituelles, ses toiles semblent être la projection d'un état d'âme à travers une image.
L'Abbaye dans une forêt de chênes, 1809-1810, 110,4 × 171
huile sur toile, Alte Nationalgalerie Berlin
Le Moine au bord de la mer, 1809-1810, 110 × 171,5
Huile sur toile, Alte Nationalgalerie, Berlin
Matin dans le Riesengebirge, 1810-1811, 108 × 170
Huile sur toile, Alte Nationalgalerie, Berlin
Le Voyageur contemplant une mer de nuages, Probablement vers 1817, 98,4 × 74,8
Huile sur toile, Kunsthalle, Hambourg
Falaises de craie sur l'île de Rügen, Vers 1818, 90,5 × 71
Huile sur toile, Museum Oskar Reinhart am Stadtgarten, Winterthour, Suisse
Le Rêveur, 1820-1840, 27 × 21,
Huile sur toile, Musée de l'Ermitage, Saint-Pétersbourg, Russie
Femme à la fenêtre, 1822, 44 × 37
Huile sur toile, Alte Nationalgalerie, Berlin
Paysage rocheux dans la Elbsandsteingebirge, 1822/23, 91 × 72
Huile sur toile, Österreichische Galerie Belvedere, Vienne
Le Watzmann, 1824/25, 133 × 170
Huile sur toile, Alte Nationalgalerie, Berlin
Homme et femme contemplant la Lune , Vers 1824, 34 × 44
Huile sur toile, Alte Nationalgalerie, Berlin
Rivage au clair de lune, 1835, Kunsthalle de Hambourg
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Par proflemerle le 1 Février 2017 à 18:48
omment résumer les choses? quelques mots clés peut-être: passion, tourments, lyrisme, rêverie, exotisme, fantastique, couleur, fantaisie, démesure, piano, symphonie, concerto, sentiments, nuit, soir, couleur locale, intimisme, exubérance, virtuosité, opéra
Ludwig van Beethoven (1870-1827), Sonate n°23, op. 57, "Appassionata"
Franz Schubert (1797-1828), Wanderer Fantaisie, 3ème mouvement, "Adagio"
Frédéric Chopin (1810-1849), Sonate n°2 op. 35
Hector Berlioz (1803-1869), Symphonie Fantastique, cinquième mouvement :"songe d'une nuit du sabbat"
Johannes Brahms (1833-1897), Danse hongroise n°1
Giuseppe Verdi (1813-1901), Aïda, air "Ritorna vincitor"
Giuseppe Verdi (1813-1901), La Traviata, air "Addio del passato"
Richard Wagner (1813-1883), Lohengrin, air "In fernem Land"
Franz Liszt (1811-1886), Trois études de concert, "Un Sospiro"
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Par proflemerle le 18 Décembre 2016 à 15:31
Josef Haydn (1732-1809), Quatuor en sol majeur opus 76 no 1, 2eme mouvement
Josef Haydn, Trio pour piano, violon et violoncelle n°39, 3eme mouvement
Josef Haydn, Sonate pour piano n°60 en ut majeur
Wolfgang Amadeus Mozart, Concerto pour piano n°20 en ré mineur K 466, 1785
Wolfgang Amadeus Mozart, Les Noces de Figaro, 1786, Ouverture
" La pièce de Beaumarchais dont s’inspire Mozart, La Folle journée ou Le Mariage de Figaro, a été donnée à Paris le 27 avril 1784, après trois années de combats et de controverses pour sa représentation. L’auteur est jeté en prison, alors que sa pièce triomphe ! Dès l’édition de la pièce, l’année suivante - 1785 -, pas moins de douze traductions allemandes paraissent, preuve d’un succès européen foudroyant. Wolfgang lui-même en possède un exemplaire dans sa bibliothèque, et il demande à son ami Lorenzo da Ponte d’adapter le texte de la pièce de théâtre à une mise en musique. Mais l’empereur Joseph II, frère de la reine Marie-Antoinette, a interdit la représentation de cette pièce, qui a causé tant de troubles en France : qu’importe, Mozart et son ami da Ponte se mettent fébrilement au travail, tant leur enthousiasme est grand. L’écriture du texte et de la musique a lieu en secret durant les mois de l’été 1785, à Vienne, alors que le calme de la capitale est propice à la réflexion pour les deux artistes. Le compositeur et le librettiste, tels de vrais conspirateurs, ont même prévu, en cas de refus réitéré de l’empereur, de faire représenter – grâce à des amis complices – l’opéra interdit à Paris ou à Londres. L’œuvre est presque achevée au début de l’automne : les paroles sont rédigées, alors que Mozart remanie encore sa partition."
lire plus sur: http://digital.philharmoniedeparis.fr/0757672-les-noces-de-figaro-de-mozart-genese-de-l-oeuvre.aspx
Wolfgang Amadeus Mozart, La flûte enchantée, 1791, air de la Reine de la nuit
Ludwig van Beethoven, Sonate pour piano n°14, en do dièse mineur, dite "clair de lune"
Ludwig van Beethoven, Symphonie n°3, en mi bémol majeur, 1804, mouvements n°3 et 4
"Beethoven est sensible aux valeurs républicaines de la Révolution française que le général Bonaparte, parti à l'assaut des royaumes européens, veut propager. Les titres et dédicataires successifs de la Symphonie n° 3 témoignent de cette réception. Initialement intitulée « Bonaparte », la symphonie sera rebaptisée « Héroïque ». De même, le dédicataire originel de l’œuvre, Bonaparte en personne, cédera finalement la place au mécène du compositeur, le prince Lobkovitz. S'il était sage de la part de Beethoven de dédier la symphonie à son mécène, on peut également attribuer ces divers changements à la déception éprouvée par le compositeur d'apprendre que Bonaparte, le chantre de la liberté, était devenu un tyran en se sacrant lui-même empereur sous le titre de Napoléon Ier.
On peut interpréter cette symphonie comme l'histoire d'une vie de héros. Le premier mouvement célèbre son énergie, quand le deuxième évoque sa mort. L'optimisme de Beethoven surmonte ce moment tragique dans les deux derniers mouvements. Cette fin heureuse, pleine d'espoir, souligne l'appartenance du compositeur au Siècle des lumières. L'assombrissement intermédiaire annonce déjà quant à lui les tourments futurs du romantisme."
lire plus sur:http://digital.philharmoniedeparis.fr/0729171-symphonie-n-3-eroica-de-ludwig-van-beethoven.aspx
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