• Retrouvez ici le poème symphonique de Camille Saint-Saëns, Phaéton, qui transpose dans le domaine musical la folle course du fils du Soleil.


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  • Pourquoi ne pas relire le texte de Virgile ("les prodiges qui accompagnèrent la mort de César") en écoutant "Mars", tiré des Planètes de Gustave Holst (1874-1934). Cette oeuvre fut créée en 1918 à Londres. Elle se compose de sept pièces symphoniques consacrées chacune aux planètes suivantes: Mars, Vénus, Mercure, Jupiter, Saturne, Uranus, et Neptune.

     


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    http://www.regietheatrale.com/index/index/thematiques/jean-chollet-la-scenographie.html

     


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  • Il serait vain d'essayer ici de lister les œuvres qui tirent leur source dans le texte d'Ovide. On peut toutefois s'offrir une petite promenade dans ce musée virtuel qui rassemble des tableaux ou des sculptures illustrant des épisodes célèbres des Métamorphoses

    Les Métamorphoses d'Ovide

     

    Gian Lorenzo Bernini dit Le Bernin (1588-1680) 

    Apollon et Daphné, 1622-1625, 

    marbre, 243 cm, Galerie Borghèse, Rome

     

    Les Métamorphoses d'Ovide

     

    Giovanni Baptista Tiepolo (1696-1770)

    Apollon et Daphné (1744-1745)

    Huile sur toile (96-79 cm), Paris, Musée du Louvre. 

    Les Métamorphoses d'Ovide

    François Boucher (1703-1770)

    L'enlèvement d'Europe (1734)

    Huile sur toile, 273.5 x 230.8 cm, Wallace Collection, London

     

    Les Métamorphoses d'Ovide

     

    Pierre Paul Rubens (1577-1640)

    Persée délivrant Andromède (1622)

    huile sur toile,100 × 138,5 cm, Gemäldegalerie (Berlin)

     

    Les Métamorphoses d'Ovide

    Gustave Doré (1832-1883)

    Andromède (1869)

    huile sur toile, 172.7 x 256.5 cm

     

    Les Métamorphoses d'Ovide

     

    Gustave Moreau (1826-1898)

    Phaéton, (1878)

    huile sur toile, 65 x 99 cm, Paris, Musée du Louvre. 

     

     

    Les Métamorphoses d'Ovide

     

    Antonio Canova (1757-1822)

    Orphée, 1776

    marbre, Musée de l'Hermitage, Saint-Petersbourg

     

    Les Métamorphoses d'Ovide

     

    Camille Corot (1796-1875)

    Orphée ramenant Eurydice des enfers (1861)

    Huile sur toile, 112 x 137 cm, Huston, Musée des beaux-arts

     

     


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  • Née en 1822 et morte en 1890, Apollonie (pseudonyme d'Aglaé) est la fille illégitime d'un aristocrate et d'une blanchisseuse. "Installée" par son amant, un riche homme d'affaire, elle tient salon dans les années 1840 et 1850. On la surnomme "la Présidente". On peut croiser chez elle, outre Baudelaire, Musset, Berlioz, Flaubert, Gautier... Muse de Baudelaire, célébrée dans Les Fleurs du Mal, elle fut aussi immortalisée par les artistes. 

     

    Apollonie Sabatier

    Cette sculpture, Femme piquée par un serpent, est l'oeuvre d'Auguste Clésinger, conservée au Musée d'Orsay. Elle fut présentée au Salon de 1847. L'oeuvre fut commandée par l'amant de la belle. Toutefois, ce dernier demanda à l'artiste de ne pas figurer le visage d'Apollonie. En revanche, le sculpteur pratiqua le moulage sur nature (sur le corps du modèle!). La chose fit sans doute scandale: d'abord parce que le corps de la femme est ici figuré de manière réaliste, ensuite parce que cette technique peut sembler contestable, si on compare la démarche avec celle d'un artiste qui "fabriquerait" de toutes pièces un corpsPourtant, les apparences sont sauves, le sujet évoque la figure d'Eve, et s'inscrit ainsi dans les cadres des sujets recevables aux yeux de l'Académie. Mais ne nous y trompons pas (et s'y est-on alors trompé?): on semble bien loin du texte biblique, et cette sculpture retient l'attention par sa sensualité explicite et assumée... "Voluptés calmes"....

    Apollonie Sabatier

     


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